DemoArt – MFX_Singularity, 2003

MFX est un groupe assez mythique dans la démoscène, avec des productions généralement assez surprenantes et peu dans la mouvance de leur époque, en un mot, très originales !

Et Singularity en est une très bonne représentation. Lancez la démo et partez dans le vide sidéral : MFX vous propose rien de moins que de vous rapprocher d’une singularité gravitationnelle ! Vous serez bientôt tellement proche du trou noir du centre de notre galaxie que vous aurez envie de le toucher. Mais attention, cette expérience ne vous laissera pas indemne et vous vous en brûlerez les yeux. C’est ce qui fait de Singularity une expérience assez unique dans la démoscène, à la fois courte mais tellement intense !

La Démo est comme toujours disponible sur LE serveur qui va bien : https://www.pouet.net/prod.php?which=10997

PS: Elle fonctionne parfaitement bien même sur tous les PCs d’aujourd’hui, y compris sous Windows 10 !

Philippe Dubois « Prez », 2025

L’aventure solaire, épisode 2 : Le réveil du solaire

Avant de continuer mes petites expérimentations, je vous propose une toute petite pause scientifique. En effet, le langage commun autour du solaire fait état de panneaux photovoltaïques, de cellules, de tensions, de watts, de taux de rendement, d’onduleurs, d’auto-consommation, d’injection, de technologies aussi avec du monocristallin, polycristallin, amorphe, blablabla.

Nous allons essayer de comprendre un peu tout cela dans cet épisode 🙂

D’abord, d’où vient la technologie des cellules photovoltaïques ?

Les premières expériences démontrant que la lumière peut être transformée en électricité remontent à 1839, et nous les devons à deux français, le physicien Antoine Becquerel et son fils Edmond. La première cellule photovoltaïque quant à elle sera inventée par l’américain Charles Fritts en 1883 : Elle était composée d’or et de sélénium, deux métaux rares, et avait un rendement de seulement 1% !

Dès lors, la course est lancée pour produire des cellules avec un meilleure rendement, et on peut noter qu’en 1958, le satellite Vanguard 1 en est équipé pour la première fois, le rendement ayant atteint 9%.

Le satellite Vanguard 1 et ses petits panneaux photovoltaïques

D’après Wikipédia, « les années 1960 voient le développement du photovoltaïque avec l’essor des satellites spatiaux, puis dans les années 1970 c’est l’alimentation en électricité des lieux reculés qui permet les premières applications au sol. ». Le solaire envahi peu à peu la terre et permet enfin d’alimenter en énergie des lieux désertiques ou reculés.

Principe de fonctionnement d’une cellule photovoltaïque

Le fonctionnement d’une cellule photovoltaïque est relativement simple. Un semi-conducteur présentant une face négative et une face positive, du silicium bien souvent, est exposé à la lumière. En percutant les atomes de silicium, les photons de la lumière mettent en mouvement des électrons qui se déplacent dans des directions différentes selon leur charge. C’est ce déplacement d’électrons qui génère un courant électrique !

Un schéma de principe de transformation de l’énergie solaire en électricité

Il est important de signaler ici que les cellules photovoltaïques en silicium vieillissent comme tout autre élément sur notre chère terre, et perdent petit à petit leur efficacité (aka leur rendement). Heureusement, rassurez vous, la perte est très faible, on compte environ sur 0,4 à 1% par an selon les constructeurs ! De sorte que les panneaux photovoltaïques sont souvent garantis 20 ans environ, ce qui les amène après 20 ans d’usage à encore 80% d’efficacité dans le pire des cas, ce qui reste très honnête.

Les différentes technologies de cellules

Ces petites cellules qui composent nos panneaux et captent la lumière pour en faire de l’électricité peuvent avoir plusieurs formes et plusieurs aspects, qui sont notamment fonction de leur technologie, et on en dénombre principalement trois types : monocristalline, polycristalline et amorphe. La principale différence, qui compte en énergie solaire, va être ce qu’on appelle communément dans l’jargon solaire le rendement : il s’agit tout simplement du taux de conversion de la lumière en électricité ! Plus celui-ci est élevé, plus la cellule sera efficace et produira d’électricité, c’est encore une fois très simple.

Monocristalline : Les cellules photovoltaïques sont issues d’un seul même cristal de silicium. Ce sont les plus communes dans les panneaux du commerce. Elles sont d’un aspect majoritairement noir et uniforme. Elles ont le meilleure rendement, qui oscille de 16 à 24%.

Un panneau classique de cellules solaires monocristallines

Polycristalline : Les cellules photovoltaïques sont composées à partir de plusieurs cristaux de silicium. Elles ont un aspect bleuté et assez hétérogène, mais il n’est pas toujours facile de les discerner des monocristallines à l’œil nu. Leur rendement moyen est inférieur, entre 14 et 18%. Moins chères à produire et donc également à l’achat, elles sont souvent proposées dans les jouets ou les gadgets électroniques à énergie solaire, mais aussi dans certains panneaux photovoltaïques moins onéreux, donc, attention !

Un petit jouet électrique fonctionnant avec une cellule polycristalline

Amorphe ou dite à « couche simple » : Ce sont les cellules photovoltaïques les moins onéreuses à produire car elles ne nécessitent pas de procédés industriels lourds comme leurs ainées, et sont donc plus écologiques. D’un aspect marron uniforme, leur rendement est aussi le plus mauvais des trois technologies, entre 6 et 8% seulement. Elles ont cependant comme qualité de pouvoir fonctionner même par temps de pluie !

Une cellule solaire amorphe classique

Selon les constructeurs et les panneaux que vous trouverez, vous tomberez potentiellement sur d’autres caractéristiques techniques et de forme, comme par exemple la notion de « demi-cellule« , qui sont donc des cellules coupées en deux tout simplement. Cela permet au panneau d’être moins sensible aux changements de lumière, comme par exemple pour une ombre portée : plutôt que de diminuer l’efficacité d’une cellule entière, et donc du panneau, cela n’affectera que la demi cellule placée sous l’ombre. Etc, etc.

Illustration vantant les avantages des demi cellules solaires

Les différents types de panneaux photovoltaïques

Il fallait donc agencer ces fragiles cellules de silicium ensemble et les placer sur un support ferme et qui les protègent, des panneaux. Les premiers panneaux photovoltaïques datent d’environ 1950 et utilisait déjà du verre comme protection.

Un schéma de coupe montrant la protection des cellules solaires dans un panneau

Ils vont être caractérisés par plusieurs caractéristiques techniques comme par exemple la puissance en Watts, le rendement, le voltage, la taille bien sûr, l’épaisseur, le poids, la couleur, les matériaux, etc etc. Voici un exemple par exemple d’étiquette au dos d’un panneau qui donne ce genre d’indications :

Caractéristiques électriques d’un panneau photovoltaïque de 300 watts

On en distingue principalement deux types au moment où j’écris ces lignes : Les panneaux rigides, très classiques, et les panneaux souples :

Les panneaux rigides : Ce sont les plus connus ! Souvent composés d’un cadre en aluminium ou plastique dur, de parois en verre ou plastique protégeant les cellules, on les retrouve majoritairement sur les toits, où leur blindage va les protéger des affres du temps et des intempéries. Leur prix a incroyablement baissé ces derniers temps, passant de plus de 400€ le panneau de 450 watts il y a quelques années à seulement 77€ au moment où j’écris ces lignes. Dès lors, l’accès à une énergie solaire propre et illimitée est d’autant plus accessible !

Un grand ensemble de panneaux solaires rigides posés sur un toit

Les panneaux souples : Comme leur nom l’indique, ils ont l’impressionnante capacité à pouvoir s’enrouler sur eux-mêmes, à se tordre, à adopter toute surface non plane s’il le faut, ce qui peut être très pratique. Attention cependant à leur angle de courbure, 30° maximum sur la majorité d’entre eux ! Ils ont également comme autre qualité d’être très fins, quelques millimètres à peine, et très légers, de 1 à 3 kg souvent. Et malgré ces différences, leur rendement en monocristallin reste souvent excellent, jusqu’à 23% ! Dès lors, il est possible de les placer sur des véhicules ou des cabanons par exemple, sur lesquels ils reposeront sans trop de problèmes en épousant les formes de ceux-ci.

Par contre, leur durée de vie semble moindre que les panneaux rigides, mais cela reste à confirmer, entre 10 ans et 15 ans.

Deux panneaux solaires souples avec un angle de torsion de maximum 30°

La chasse au soleil est ouverte !

Maintenant que vous connaissez par cœur le fonctionnement d’un panneau photovoltaïque et de leurs cellules, nous allons nous intéresser à comment les utiliser au mieux. C’est à dire, à faire en sorte qu’ils soient le mieux et le plus longtemps possible au soleil pour pouvoir produire de l’électricité, bien sûr.

Le panneau posé au sol, au mur ou sur une table

C’est la base de la base. Vous achetez un panneau solaire, et vous le placez où vous pouvez, de manière à ce qu’il capte le plus le soleil possible. Les panneaux rigides peuvent être positionnés plus fermement alors que les panneaux souples eux pourront être posés sur une surface même si celle-ci n’est pas parfaitement droite.

Un utilisateur branche un petit panneau solaire pour recharger son smartphone

Sur le toit ou dans le jardin

Nous avons déjà vu plus haut des panneaux photovoltaïques posés sur un toit, mais en fait, nous avons la possibilité d’en poser (presque) partout où bon nous semble ! La loi française et le DPU de votre ville ne devrait normalement pas trop vous gêner pour poser des panneaux dans votre jardin, voir sur votre balcon ou vos fenêtres, garages, etc.

Disclaimer : Cependant, il existe des lois qui régissent l’implantation des panneaux photovoltaïques pour les particuliers et les entreprises et sous certaines conditions. Cela peu devenir rapidement compliqué, et ce sera le sujet d’un autre épisode pour nous aider à y voir plus clair !

Un panneau de 100 watts pliable, couplé à une batterie onduleur pour recharger un ordinateur portable

Le tracker solaire

Un des systèmes de suivi de la trajectoire du soleil afin d’être le plus efficace possible est ce qu’on appelle un « tracker solaire » : C’est un support mécanique et souvent automatisé, mû par des moteurs électriques, qui supporte un ensemble de panneaux solaires et qui va « suivre » la trajectoire du soleil toute la journée. Si l’équipement est un peu onéreux, plusieurs centaines d’Euros minimum, il permet de démultiplier le rendement de ses panneaux ! Jusqu’à 40% environ, ce n’est pas rien !

Des trackers solaires imposants placés dans un parc

La recherche est très active !

Pouvoir fabriquer des panneaux photovoltaïques à moindre coût et de manière à avoir un meilleur rendement de transformation de l’énergie solaire en électricité est un enjeu planétaire ! Et bon nombre de laboratoires un peu partout dans le monde cherchent en continu comment améliorer les panneaux photovoltaïques de demain.

Par exemple, un tout nouveau genre de cellule a été inventé en 2016 : https://www.ecosources.org/33-cellule-solaire-czts-cuivre-zinc-etain-soufre

Il y a fort à parier que dans les années à venir, cette technologie va connaitre des évolutions et offrira des rendements de plus en plus élevés, pour le plus grand avantage de leurs utilisateurs.

Merci de m’avoir lu sur ce long article, et je vous dis à bientôt pour les prochains épisodes de l’aventure solaire !

Prez, 2025

Quelques références utilisées dans cet article :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cellule_photovolta%C3%AFque

https://www.effy.fr/travaux-energetique/solaire/panneau-solaire-photovoltaique/monocristallin-ou-polycristallin#anchor_21626

https://www.choisir.com/energie/articles/117006/les-cellules-photovoltaiques-source-inepuisable-dinnovations

https://www.effy.fr/travaux-energetique/solaire/panneau-solaire-amorphe

L’aventure solaire, épisode 1 : Un nouvel espoir

Mes débuts dans l’énergie solaire !

Cela fait des années, peut-être même des dizaines je me dis, que je rêve d’installer des panneaux solaires de manière sérieuse et surtout utile (= rentable pourquoi pas 😉 ) quelque part chez moi. Maintenant que j’ai enfin déménagé dans le sud de la France près de Sète, dans une jolie petite maison qui offre plein de possibilités et bien orientée, je vais pouvoir me lâcher un peu et aller je l’espère assez loin.

Mes premières expériences avec des panneaux solaires remontent à lorsque j’habitais encore Paris, déjà que c’est pas la fête niveau ensoleillement, et le balcon de notre appartement n’était pas du tout orienté plein Sud. Autant se dire que cela restera évidemment de l’expérimentation et que cela n’a pas été plus que cela.

A l’époque, j’avais acheté deux petits panneaux pour recharger les équipements mobiles, comme un smartphone ou une tablette, on console de jeu. Ce sont des panneaux souples et mobiles de 25 et 40 watts (ndlr : nous prendrons l’habitude tout de suite de diviser la puissance en Watts annoncée sur les publicités asiatiques par deux par sécurité, hein 😉 ), ce qui est déjà pas si mal, vous le verrez.

Car en effet, petite appartée, le ouaibe est rempli de mensonges et omissions, c’est le moins qu’on puisse dire, même si ce n’est pas nouveau et ne touche évidemment pas que le solaire :

Un bel exemple d’un beau mensonge, jamais ce tout petit panneau ne fera 30 watts 😉

Le premier de mes panneaux corrects est donc un panneau d’environ 25 watts composé de 8 belles cellules. Souple, léger, il peut être accroché partout et dispose d’un boitier de connexion avec 2 prises USB-A, une prise USB-C et une sortie 18 volts directe :

Un panneau tout à fait équivalent au mien, mais qui ne fera jamais 100W bien entendu 😉

En plein soleil, il permet de recharger tranquillement une tablette ou un smartphone moderne et gourmand sans trop de soucis, ce qui est déjà pas mal, vu le faible encombrement et la légèreté du panneau, et un prix correct d’environ 30€.

Le second est un double panneau repliable de (80/2) 40 watts composé de deux plaques de 6 cellules, soit en fait un peu moins du double de mon premier panneau. Souple, un peu moins léger mais pliable, plus cher bien sûr, il peut être accroché presque partout et dispose lui aussi d’un boitier de connexion avec 2 prises USB-A, une prise USB-C et une sortie 18 volts directe :

Un modèle équivalent au mien, mais sans prise USB-C

Avec un peu plus de puissance, ce panneau est tout de suite plus utile et plus sérieux, et nous allons le voir, peut même sérieusement commencer à alimenter des stations solaires et ne pas faire que de la recharge de tablette ou smartphone.

Car autant les prises USB-A ou -C sont utiles immédiatement pour recharger un appareil compatible, mais elles ne permettent pas vraiment de faire des choses plus ambitieuses, comme commencer à alimenter une batterie rechargeable dans laquelle nous pourrons ensuite puiser de l’énergie plus tard !

Du coup, ces deux modèles de panneaux sont fournis avec une prise 18V directe qui justement permet de réinjecter la production du panneau dans ce qu’on appelle communément un contrôleur solaire tel que celui-ci, que l’on trouve dans toutes les bonnes crémeries asiatiques pour quelques euros :

Cette image a pour elle d’être suffisamment explicite quand au fonctionnement du contrôleur !

Ce genre de boitier ne coûte pas grand chose, quelques € à peine et se branche comme le montre brillamment l’image du dessus directement sur votre panneau solaire, en faisant attention au voltage d’entrée quand même (18 volts semble être tout à fait universel). Le contrôleur doit ensuite être connecté à une batterie externe sans quoi il ne fonctionnera pas, et permettra de recharger celle-ci très doucement. Une fois une charge utile atteinte, vous pourrez dès lors consommer l’énergie de la batterie (ici l’ampoule « Loads »/charges) en convertissant les 12 volts obtenus et stables en ce qui vous plaira.

C’est déjà pas mal du tout, vous avez maintenant un panneau qui peut emmagasiner de l’énergie et la restituer quand vous en avez besoin, et la batterie peut se charger toute la journée sans inquiétudes, car le contrôleur même le plus basique possède un bon nombre de protections utiles. Avec ces 12 volts, vous pouvez alimenter bon nombre d’appareils ménager courants : bornes Wifi, outils, lampes rechargeables ou non, etc. De plus, notez que le contrôleur propose 2 ports USB charge lente qui permettront aussi de recharger vos smartphones et tablettes.

Mais…

Mais, c’est le bordel tous ces câbles et équipements, ça ne me convient pas du tout !

Mais mon but est d’intégrer tout ce bordel dans mon bureau voir le salon de ma maison, et ça fait des câbles, des batteries, des contrôleurs, des adaptateurs en tout genre, des trucs partout. C’est le foutoir, c’est pas WAF, ça ne me convient pas.

Il est temps alors de se tourner vers une autre solution, ce qu’on appelle communément une centrale électrique portable ou solaire, qui va avoir l’avantage de réunir un peu tous ces éléments à part le panneau bien sûr, dans un seul boitier, qui plus est qui peut être sexy comme on va le voir ensemble.

La FlashFish 200 est une centrale de premier prix mais qui offre tout de suite des fonctionnalités très intéressantes !

J’ai pour ma part choisi ce modèle premier prix mais avec de bons retours des utilisateurs. Elle m’aura coûté environ 90€ et possède de multiples avantages :

  • C’est un joli petit boitier de construction qui semble solide, équipé d’une poignet de transport ergonomique
  • Tout est intégré : batterie lithium ion de bonne capacité, de multiples branchements en façade en USB-A compatibles Quick Charge 3.0 ou des sorties 12 volts directes, afficheur avec la taux de charge de la batterie, prise universelle de recharge prenant entre 15 et 30 volts (panneaux solaires, chargeur sur le secteur, etc).
  • Elle permet d’alimenter plusieurs appareils en même temps et dans différentes tensions d’utilisation.

Surtout ce qui est exceptionnel je trouve, et vous l’aurez certainement remarqué, c’est cette prise de courant à droite. Wtf ? Et oui, cette petite station électrique portable peut générer un très bon courant alternatif (ils appellent ça dans l’jargon « pure sine wave « ) et peut alimenter un appareil classique jusqu’à 200 watts ! Incroyable ! Donc, une télévision, un ordinateur portable ou non, etc. Bien sûr, pas d’appareil de cuisson ou même un sèche cheveux bien sûr, et la batterie interne ne permet pas d’alimenter un équipement consommateur longtemps. Mais test à l’appui, j’ai pu utiliser mon pc portable du boulot toute une après-midi sans problèmes en étant branché uniquement sur cette station, que j’avais rechargée auparavant le matin avec mon panneau de 40 watts ! Classe !

Par contre, cette petite station pas chère a tout de même un défaut assez majeur : elle ne permet pas de l’utiliser pendant qu’elle charge, ce qui est très contraignant. Elle fait donc plutôt office de solution d’appoint ou de backup, mais heureusement, il existe pour à peine plus cher d’autres solutions bien plus avantageuses !

Voila, notre premier épisode dans l’énergie solaire s’arrête pour l’instant ici. Nous avons pu faire le tour de quelques solutions peu onéreuses capables de recharger de petits appareils, mais aussi des équipements un peu plus sérieux qui permettent de stocker de l’énergie, et voir de la restituer de manière tout à fait classique comme le réseau domestique en 220V alternatif.

Le prochain épisode sera quant à lui déjà beaucoup plus sérieux, car nous allons partir sur des solutions de panneaux solaires beaucoup plus performants, bien qu’accessibles encore financièrement j’espère, et branchés à une centrale solaire elle aussi bien plus performante, ce qui va débloquer un jalon très important pour moi : l’indépendance énergétique complète pour mon poste de travail professionnel et les économies qui en découleront naturellement 😉

A très vite !

Philippe Dubois « Prez »