Voici le test du câble adaptateur HDMI pour consoles Nintendo équipées d’une sortie vidéo compatible (Super Nintendo, N64, GameCube) que vous pouvez trouver en ligne chez le fabricant, Pound : https://www.poundtechnology.com/supernes-ntsc
Ce câble est livré dans une boite complète avec le câble vidéo, un câble HDMI bien long et un câble destiné à l’alimenter si besoin, en USB, à brancher n’importe où donc ou vous avez une prise libre.
Le câble vidéo lui-même est bien intégré et possède dans son boitier la puce d’encodage vidéo en HDMI 720P, et il faut bien le reconnaître fait du beau boulot comme en attestent les captures suivantes. Il chauffe un peu à l’usage, et par exemple sur ma Super Famicom, j’ai dû utiliser le câble d’alimentation supplémentaire, la console ne fournissant pas assez de courant au câble.
Captures de jeux avec le câble Pound HDMI Super Nintendo ou N64 :
C’est comme vous pouvez le constater très propre, surtout et comme je le rappelle toujours, que vous voyez plus haut le résultat encodé une première fois en H264, puis re-encodé par Youtube. Le résultat direct sur votre télévision est forcément meilleur ! Et pour être clair et précis, ce câble fait un net meilleur travail que les scalers cheap HDMI que l’on trouve un peu partout, comme le Modèle A ou B que je teste sur le site.
En conclusion, je recommande donc cet achat (environ 50 euros tout de même) si vous n’avez pas le choix de pouvoir brancher vos machines directement en Péritel !
Voici un test du câble adaptateur HDMI pour consoles Sony PlayStation (PS1/PS2 et même PS3 pourquoi pas)) que vous pouvez trouver en ligne chez le fabricant, Pound : https://www.poundtechnology.com/playstation2
Ce câble est livré dans une boite complète avec le câble vidéo, un câble HDMI bien long et un câble destiné à l’alimenter si besoin, en USB, à brancher n’importe où donc ou vous avez une prise libre.
Le câble vidéo lui-même est bien intégré et possède dans son boitier la puce d’encodage vidéo en HDMI 720P, et il faut bien le reconnaître fait un beau boulot comme en attestent les captures suivantes. Il chauffe un peu à l’usage et j’ai dû utiliser le câble d’alimentation supplémentaire, au cas où ma console PS2 ne fournirait pas assez de courant au câble.
Vous trouverez sur ma page Youtube des vidéos de test réalisées avec ce boitier vidéo :
C’est comme vous pouvez le constater très propre, surtout et comme je le rappelle toujours, que vous voyez plus haut le résultat encodé une première fois en H264, puis re-encodé par Youtube. Le résultat direct sur votre télévision est forcément meilleur !
En conclusion, je recommande donc cet achat (environ 50 euros) si vous n’avez pas le choix de pouvoir brancher vos machines directement en Péritel !
Câble vidéo de marque Pound, sortie en HDMI 720P 16/9.
Jeu PAL mais image en NTSC.
Quel jeu magnifique ! quelle poésie ! Mais quelle difficulté également, avec ces satanés caméras qui vous jouent de tours, et les commandes du personnage qui sont assez imprécises. Malgré ces petits défauts, il reste un chef d’oeuvre incontestable de ces 20 dernières années en jeu vidéo.
Le RVB pour tous, même pour la Nintendo 64 ! La N64 a de très bons jeux, et aura laissé derrière elle de sacrées évolutions comme par exemple le premier Mario en 3D et l’arrivée du stick analogique, ou encore 4 ports de jeu pour jouer avec ses potes. Ce n’est pas rien !
Mais la sainte machine fut malheureusement affublée d’une des pires sorties vidéo par son constructeur, pour des raisons peu claires, avec uniquement du composite disponible. Horreur, malheur ! Et autant dire que sur nos télévisions ultra modernes, le composite c’est l’enfer. Alors, nous allons voir ensemble comment modifier certains modèles de N64 pour qu’elle puisse sortie en Rouge Vert Bleu, soit RVB ou RGB pour les anglophones, avec de belles couleurs bien saturées, ce qui au détriment d’une résolution vidéo trop peu importante de toutes façons, permettra au moins d’afficher une jolie image bien nette.
Car de base, une N64 en composite cela donne ceci :
Avant de commencer, il faut savoir que les montages pour passer en RVB dont je vais parler sont destinés, pour nos contrées, au tout premier modèle de Nintendo 64 vendu en France, le modèle NUS-001(FRA) :
Pourquoi un tel modèle ? Car à l’époque on suppose que le constructeur Nintendo a hésité avant de fournir sa nouvelle console avec une sortie RVB, comme la Super Nintendo, surtout que la prise vidéo est exactement la même, ce qui est très pratique. Mais devant les capacités vidéo en 3D sommes toutes assez sommaires de la machine, il aura décidé de finalement commercialiser uniquement sa console avec une sortie composite, ce qui également en termes de composants, coûte moins cher. Mouais. Radins !
Et en effet, ce modèle de première N64 est encore équipé d’une puce vidéo qui permet de récupérer facilement les trois couleurs Rouge , Vert et Bleu. Son petit nom est le VDC-NUS :
Première méthode dite « officielle »
La première méthode consiste à ajouter les composants manquants sur la carte mère pour récupérer les signaux RVB manquants. C’est la plus difficile, car les composant sont dits en « CMS » et sont extrêmement petits. Pour résumer, cette méthode est à réserver aux bons bricoleurs ! Vous êtes prévenus.
Sachez qu’on trouve également bon nombre de tutos sur Youtube, comme celui-ci :
Et voici ce que ça donne une fois la modification faite !
Une seconde méthode plus simple !
Une méthode consiste à ajouter une petite plaquette de composants directement sur le port vidéo de la console, et de souder trois fils pour retrouver les couleurs Rouge Vert Bleu. Ce montage est disponible pour quelques euros sur Ebay :
Le Gotek est en fait un émulateur de lecteur de disquettes pour ordinateur ou tout dispositif en utilisant, souvent au format 3 1/2 pouces, qui permet d’utiliser une bête clef USB pour stocker vos images de disquettes, et les relire sur la machine équipée. En sommes, cela vous permet très facilement comme vous allez le voir, de remplacer les lecteurs de disquettes vieillissants de nos chers Amigas, Atari ST, Thomson TO8D, Amstrad CPC, MSX, etc etc par ce dispositif peu onéreux.
De quoi avez-vous besoin ?
D’un fer à souder de 15 à 25 watts maximum
D’un peu d’étain à soudure électronique
De quelques fils électriques fins, si possible de plusieurs couleurs différentes
D’un lecteur Gotek (voir plus loin pour les liens)
D’un dongle USB PL2303 (voir plus loin pour les liens)
D’un PC (ici sous Windows, mais doit marcher sous Linux)
Première étape, comment ça marche ?
Le Gotek se présente sous la forme d’un boitier en plastique plastique relativement cheap, qui a a peu près la forme d’un lecteur de disquettes 3 1/2 pouces moderne, puisque le but est sous sa forme native de pouvoir équiper des PCs ou machines industrielles.
Il fonctionne grâce à un petit micro-contrôleur de type ARM qui est capable de faire pas mal de choses, et donc d’un peu de RAM et de ROM. Un vrai petit ordinateur de poche. Il est équipé de base d’une connectique compatible avec les nappes pour lecteurs de disquettes et de quelques pins de configuration dont nous allons avoir besoin :
Néanmoins, à ce stade, brut de décoffrage à la sortie d’usine, le Gotek est incapable de fonctionner sur Amiga, ST, MSX, Thomson, etc. Il faut donc changer son firmware (logiciel interne) pour qu’il accepte de travailler sur nos anciennes machines chéries. Nous allons voir cela dans un troisième temps.
Seconde étape, où trouve t-on cette petite bête ?
Pour trouver un de ces petits bijoux de la technologie Chinoise, AliExpress sera votre ami, qui en tant qu’ami vous fera les meilleurs prix, environ 17 euros de base :
Il y a plusieurs modèles disponibles. Déjà, la « couleur », souvent ils sont gris ou noir. Pour Amstrad CPC6128 ou Thomson TO8D nous aurons donc tendance à prendre le modèle noir. Pour ST, Amiga et autres, le gris. Ensuite, il existe des modèles un peu plus sophistiqués avec afficheur numérique et surtout des boutons poussoirs de sélection très utiles, comme nous le verrons lors de l’usage. Je vous conseille vivement ce modèle avec afficheur !
Vous en trouverez aussi beaucoup sur Ebay, à toutes les sauces, et certains déjà équipés de firmwares de type HxC modifiés pour Amiga, Atari ST, etc. Cela vous permettra de gagner du temps, mais au détriment d’un prix de vente bien supérieur. Nous allons donc continuer ensemble cette étude pour équiper vous mêmes vos Gotek du firmware qui va bien !
Troisième étape, ajouter un firmware HxC au Gotek
Nous allons donc ajouter à notre Gotek un peu bête un vrai firmware compatible avec toutes nos machines chéries, et ce firmware, nous allons le trouver chez notre ami Jean-François Del Nero, auteur du mondialement connu HxC, émulateur de lecteur de disquette : https://hxc2001.com/store/
Vous recevrez après paiement et par mail le fichier du firmware à ajouter à notre Gotek. C’est la parti la plus cossue de l’opération, car il n’est pas à la portée de tous de faire cette modification. Ceci dit, si vous êtes un tantinet bricoleur et suivez cet article minutieusement, cela devrait le faire.
Modification du firmware du Gotek
Une fois en possession de notre firmware HxC (j’espère que vous suivez toujours, allez y doucement), nous allons passer à la programmation même de notre petit Gotek. Pour cela, nous allons devoir utiliser un programmeur série de type PL2303. C’est en fait un dongle USB qui va nous permettre de communiquer en RS232 avec le Gotek pour le programmer. Sur cette page, nous allons trouver la bonne référence du dongle USB à acheter : https://github.com/keirf/FlashFloppy/wiki/Firmware-Programming
Ce modèle est celui que j’utilise, il fonctionne très bien, je le recommande donc : https://www.ebay.fr/itm/PL2303-USB-To-RS232-TTL-Converter-Adapter-Module-with-Dust-proof-Cover-PL2303HX/163459089214?hash=item260eebc33e:rk:4:pf:0
Sur le Gotek, trouvez l’emplacement suivant sur la carte mère et notez bien le descriptif :
Vous allez devoir prendre votre fer à souder (15 ou 25 watts maximum), et faire un pont (souder un fil kwa) entre les deux pins J3 et celui de gauche, comme indiqué sur l’image du haut (BOOT0). Ceci va faire en sorte que le Gotek va booter en mode Programmation.
2. Ensuite, soudez deux fils à l’emplacement indiqué « RESET » en haut à droite. Nous nous servirons de cette fonction plus tard.
3. Finalement, soudez deux fils qui serviront pour la transmission des données (RX et TX) grâce auxquels nous allons injecter le firmware HxC dans le Gotek.
Maintenant, connectez votre dongle USB PL2303 à votre PC, de préférence sous Windows XP pour les plus vieux, Seven accepté. Sous Windows 10, nous allons devoir faire quelques manipulations de plus, suivez bien 😉
64 Ko de bonheur visuel, sensoriel et sonore, toujours de chez nos amis Allemands Farbrausch. Téléchargez cette jolie démo PC chez Pouet.net, bien sûr : http://www.pouet.net/prod.php?which=9424
Et pour mieux la supporter dans son malheur, chantons avec Josie !
come for me touch my skin feel my pain deep inside me
i'm in a place i don't belong caught in this cage i sing my song (2x)
she wants to be more than she is now she's josie, she's josie she wants to be more than she is now i'm so aloooooone she wants to be more than she is now she's josie, she's josie she wants to be more than she is now she's josie.
(robot voices: 'warning! subject is trying to break out' 'begin countermeasures immediately.' 'confirmed. chance of success: twenty percent.')
find me i'm down here waiting for you to come so come for me take on me touch my skin be the one to rescue me
Pour capturer des vidéos, il existe des quantités d’adaptateurs, de cartes d’acquisition, de boîtiers de capture, d’appareils divers sous toutes les formes possibles, pour tous les systèmes. Sans vouloir prétendre les voir tous un jour, j’essaierai d’en tester quelques uns.
Ici, nous allons nous intéresser à un petit boiter à 50 euros environ, trouvable sur Ebay ou autres marchands, qui fait comme vous allez le voir un travail tout à fait correct. Comme c’est un produit copié sur un original, il n’a pas de petit nom propre, si ce n’est le nom générique que sa notice dévoile : HDMI Grabber. Voyons ce qu’il a dans le ventre.
Le HDMI Grabber donc de son petit nom est un petit boitier de plastique noir, à l’apparence simple puisque bardé d’un seul bouton de commande (ici sur la photo, 720P/1080P) et d’un interrupteur marche/arrêt.
Par contre sa connectique est intéressante, puisque ce boitier permet de capture un flux HDMI (presque) quelconque et de l’encoder à la volée en H264, en bonne qualité. Il est surtout équipé d’un passthrough bien pratique, puisque vous allez retrouver derrière le boitier une sortie vidéo HDMI directe.
L’électronique même du petit boitier est finalement de bonne augure, et l’inscription sur la carte mère nous indique la provenance de celle-ci : C’est un clone des produits ClonerAlliance, qui semble t-il valent beaucoup plus chers sur les marchés.
Effectivement, il est de bon aloi de remarquer cette prise MicroUSB sur le coté gauche, qui est plus vantée sur la notice de l’appareil (alors que le boitier plastique n’y donne pas accès – lol). Nous reviendrons dessus un tout petit peu plus tard.
Comme je suis gentil, je vous ai même mis son mode d’emploi en ligne :
C’est bien beau tout cela, mais comment fonctionne t-il ce petit boitier ?
Le boitier capture donc un flux HDMI et l’encode à la volée en H264, et vous permet d’enregistrer ce flux sur une clef USB ou un disque dur USB relié au boitier. Les deux solutions fonctionnent bien notamment en utilisant un formatage FAT32. L’intérêt de cette solution, pour nous les gamers en herbe, est que le Grabber HDMI possède une sortie HDMI en mode « passtrough », c’est à dire direct et sans lags (en gros, on voit l’entrée directement et non pas le résultat du flux encodé). Il n’y a donc aucun lag à reporter de ce coté là, ce qui permet de jouer dans de bonnes conditions aux jeux vidéo que l’on capture.
Une fois l’appareil branché et allumé, celui-ci va initialiser en 2/3 secondes le support USB utilisé et la diode sur le capot va clignoter vert pour dire que tout est ok.
A ce moment là, allumez votre source vidéo, la diode va alors afficher une couleur selon le type de source (vert pour du 720P, bleu pour du 1080P) et ne plus clignoter si la source est bien reconnue. Si le signal en entrée n’est pas reconnu (mauvais signal HDMI, résolution ou encodage étrange, etc), le boitier va clignoter et surtout vous n’aurez pas d’image en sortie de celui-ci. Si plus rien ne clignote et que vous avez l’image en sortie, vous êtes prêts à capturer 😉
Appuyez alors sur le (seul) bouton sur le boitier, et la capture commence. La diode va clignoter pendant tout l’enregistrement. Re-appuyer sur le bouton arrêtera la capture et le fichier en cours, il n’y a pas de pause.
Important : Comme les captures peuvent être grosses, jusqu’à 2 Go chaque, attendez toujours quelques secondes après avoir demandé l’arrêt de la capture que le boitier puisse bien finir de tout enregistrer. Cela se manifeste par une diode qui clignote vert/bleu pendant cette phase.
A la fin de votre session de capture, éteignez l’appareil et retirer votre appareil USB, prêt à brancher sur votre PC pour transfert. Et voila !
Quid de la qualité obtenue ?
Disons le franchement, la qualité de l’appareil est bonne. Il existe nécessairement mieux, et les boîtiers H265 commencent à montrer leur nez, mais je pense qu’il faudrait dépenser beaucoup plus pour avoir un peu mieux. Attention cependant à ce que vous injectez comme signal, car et d’une, si le signal HDMI n’est pas en 720 ou 1080P propre, le boitier ne l’acceptera pas (diode clignotante, et pas d’image en sortie), et deuxièmement, si vous encodez des images provenant d’anciennes machines comme moi, avec des sorties analogiques, pensez bien que chaque petit défaut de l’image va être encodé et donc utilisera de la bande passante. Pensez donc à avoir l’image la plus belle et propre possible en entrée, évidemment !
En effet, les fichiers bruts enregistrés par l’appareil (ne vous fiez pas aux résultats que j’ai mis en ligne sur Youtube, puisque Youtube ré-encode et donc détériore la qualité des enregistrements !) sont de bonne qualité. Des artefacts de compression sont visibles, nous ne sommes pas en loss-less, mais sont très discrets. Que ce soit en 720P ou 1080P, je trouve personnellement et donc en conclusion la qualité de ce boitier très bonne surtout pour les 50 euros qu’il coûte environ !
Je recommande donc vivement cet achat si vous souhaitez un encodeur matériel HDMI en H264, à moins que vous connaissiez bien sûr une autre référence plus performante, mais à quel prix ?
Voici un autre modèle de Scaler HDMI Péritel du marché, capable de recevoir une prise Péritel complète avec ses entrées Composite, Svideo et RVB !
On le trouve assez facilement sur les sites d’enchères tels qu’Ebay ou sites marchands asiatiques classiques. Il possède en entrée sur la face avant donc une prise Péritel complète, ce qui est important ici puisque le boitier gère le RVB, et une prise HDMI In également pour pouvoir switcher facilement entre les deux. Sur la façade avant, un simple bouton permet de switcher entre 720P et 1080P.
L’intérieur de la bête
Hormis le manque de blindage qui nuit certainement (un peu ici) au résultat final, l’électronique est finalement très propre, aérée et la carte mère est de qualité. C’est ce qui explique que finalement, ce boitier fait très bien son job, parfois même mieux que le Modèle A !
Captures vidéo de test
Effectivement, il faut du bon boulot malgré l’absence de blindage, et s’en tire avec tous les honneurs pour du simple composite par exemple ici :
Les captures faites montrent en effet que le boitier se débrouille très bien. Parfois même mieux que le Modèle A qui reste une référence, et notamment au niveau de la gestion du désentralecement, comme par ici sur la capture de Mario 64 : Les objets en mouvement ne « sautent » plus comme sur le Modèle A, ce qui rend mieux au final sur l’image.
Une sortie vidéo HDMI discutable
Tout serait-il parfait avec ce boitier ? Non, et pour cause : S’il prend finalement beaucoup de sources en différent signaux (composite, svideo et RVB), la sortie vidéo en HDMI souffre de temps en temps d’incompatibilité.
C’est un boitier un peu hors normes mais qui se retrouve finalement assez efficace pour y connecter des vieilles consoles ou micro-ordinateurs. L’image obtenue en RVB ou Composite est finalement de bonne qualité, le boitier fonctionne (presque) parfaitement. Car il génère un problème : souvent à la sortie du boitier, que ce soit sur ma télévision HDMI directe ou sur mon boiter de capture HDMI, le signal n’est pas reconnu ! Ce qui est évidemment particulièrement gênant.
Il « suffit » dès lors d’utiliser un autre scaler HDMI, comme le modèle A par exemple, pour régler définitivement le problème et ressortir un signal HDMI propre. Mais c’est effectivement un problème contraignant, vous voici prévenu !
Philippe Dubois « Prez »
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